Cette terre que j’aime, ses odeurs imprégnées dans ma mémoire, je sens ses arbrisseaux, ses clairières humides et souvent enneigés, ses grands arbres qui semblent soutenir et embrasser le ciel sombre. Enfin ce soleil qui saupoudre d’or ses branches et ses rameaux. Des espoirs infinis d’une terre de paix, d’amour. Suivez moi car j’entre dans la chambre des forêts
